Catégorie : Patrimoine

Patrimoine disparu : les “Bornes du gymnase” de Bruno Yvonnet

En 1991, l’artiste lyonnais Bruno Yvonnet réalisa une œuvre d’art dans l’espace public à Villeurbanne pour accompagner la construction du gymnase des Gratte-Ciel. Dégradées par le passage du temps, les « Bornes du gymnase » sont arrachées entre 2015 et 2016 dans l’indifférence générale. Ne subsistent que le souvenir et quelques traces au sol >>>

De la place de la Cité au rond-point du Totem 2/2

L’œuvre de Rougemont a donné son nom au quartier alentour, au point de faire oublier parfois la toponymie de la place. Avant d’être nommée Albert Thomas, elle pris le nom de Cité Napoléon au XIXe siècle puis de place de la Cité. Les cartes postales éditées entre 1900 et 1920 permettent de se replonger dans le passé >>>

De la place de la Cité au rond-point du Totem 1/2

Le Totem de Guy de Rougemont signale depuis 1981 l’une des entrées de Villeurbanne, il est devenu au fil des années un emblème de la ville connu de tous. Cette sculpture en forme de colonne au centre de la place Albert-Thomas a donné au fil des ans son surnom au quartier alentour et à plusieurs enseignes à proximité >>>

Quelques lignes à propos du rond-point des “deux maisons” d’Etienne Bossut

Un véhicule s’est encastré dans le rond-point des deux maisons. Très endommagée, l’œuvre d’Etienne Bossut a été enlevée. Contactée par e-mail, la mairie indique qu’à l’heure actuelle « aucune décision n’a été prise concernant sa remise en place ». Une expertise est en cours. Son état laisse présager le pire >>>

Sur la frontière entre Villeurbanne et Lyon 2/2

Suite et fin de l’article dédié aux limites entre Villeurbanne et Lyon avec un itinéraire de balade permettant de localiser et relier les 13 plaques en céramique qui signalent encore aujourd’hui la frontière entre les deux communes. Départ de la rue d’Hanoï à proximité des Charpennes, arrivée place des Maisons-Neuves >>>

Sur la frontière entre Villeurbanne et Lyon 1/2

Au début des années 1930, des carreaux en céramiques furent cimentés le long de la frontière entre Villeurbanne et Lyon. En 1974, 32 furent recensés par l’historien Georges Bazin. En 2020, seuls 13 subsistent. Focus sur un élément de patrimoine original amené à disparaître progressivement. Deuxième volet à suivre >>>